L’histoire derrière la forêt
Hazel Lithwood n’est pas seulement un nom, mais un lieu — une forêt rêvée, profondément enracinée dans la nature. Ici, chaque ombre, chaque branche, chaque souffle de mousse devient une trace, une entaille, une empreinte.
Je grave lentement, avec la patience des arbres.
Chaque geste avec la gouge est un dialogue entre la main et la forêt, entre le silence et l’encre.
Mes tirages sont réalisés à la main, pressés un à un sur un papier qui se souvient de chaque pression, de chaque imperfection — comme l’écorce se souvient du vent.
Le nom murmure deux échos :
« Hazel », pour l’arbre de l’intuition, de la protection et des sentiers sauvages.
« Lithwood », la rencontre de la pierre et de la forêt, de l’encre et du papier — la permanence de la gravure et la fragilité des feuilles.
Cet art est une résistance à la hâte — un art qui pousse lentement, comme la mousse avec le temps.
Chaque tirage est à la fois une image et un fragment de nature, une histoire murmurée dans le silence, un regard tendre vers le sauvage.
À travers Hazel Lithwood, je t’invite à entrer dans la forêt — à flâner, à t’arrêter, à emporter avec toi un fragment d’encre et d’écorce.